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dimanche 14 juin 2020

Porter de Jolies culottes !



Si j’avais déjà amorcé une transition écologique en matière d’alimentation privilégiant le local, le bio et le saisonnier, bien avant le confinement, j’ai comme tout le monde depuis quelques mois décidé de mieux consommer dans différents domaines à commencer par celui de l’habillement.

J'aime beaucoup la mode et j’ai souvent tendance à avoir des achats compulsifs et à petits prix dans des grandes enseignes. Pourtant, j’essaie aussi de changer en privilégiant de plus en plus des marques françaises ou européennes et de qualité quitte à payer plus cher. Pour les enfants, c’est un peu compliqué car ils grandissent vite et il faut souvent renouveler la garde-robe. Je n’ai pas toujours d’autres choix que la mode peu chère… 

Mais même pour eux, j’aime les belles matières, les jolies coupes et l’originalité !

Récemment, j’ai découvert sur les réseaux sociaux une marque de sous- vêtements pour femme et enfant qui réconcilie qualité et petit prix, Jolies Culottes.

Fondée par deux femmes issues de l’univers de la lingerie, l’idée est de proposer des sous-vêtements confortables, fabriquées en Europe, en coton biologique et à petits prix.

5 pilliers définissent cette marque : le côté Bio avec le label Oeko-tex sur tous les sous-vêtements ; designés en France, les sous-vêtements sont fabriqués dans une usine familiale du Portugal et la marque à une action éthique grâce à des actions envers des associations environnementales ; transparente, la marque dévoile tout sur ses coûts et ses marges ; accessible, Jolies Culottes a eu l’idée de miser sur les petits prix, et plus encore si vous achetez par lot ! Enfin, la marque se veut inclusive, pensée pour toutes les morphologies (et d’ailleurs leurs photos parlent d’elles-mêmes).


Si la collection femme est vraiment très jolie avec des basiques en coton aux imprimés vintage, des bloomers retro à volants, des shortys en tulle mais aussi des brassières confortables et féminines, en passant par des culottes menstruelles pas gnangnan, j’ai craqué pour la collection enfant hyper originale et craquante.

J’en ai pris 4 : 2 pour ma mini en 2/3 ans, à motifs cerise et à motifs de fleurs et 2 pour ma grande en vichy et à motifs cerise également pour un matchy-matchy très mignon entre sœurs.



La qualité est parfaite pour leurs peaux fragiles et les coupes sont impeccables. Elles m’ont rappelé certaines culottes que j’avais enfant. Elles sont tellement jolies qu’elles ne pourraient porter que ça, non ?

Pour la petite qui commence à se familiariser avec la propreté, je trouve également très important qu’elle puisse porter de jolies culottes qui lui donnent envie.



Je suis vraiment satisfaite de ces jolies culottes et je reste fan de cette marque dans l’ère du temps qui œuvre pour le monde de demain.


Alors, RDV sur le site pour découvrir toutes les jolies culottes !

·        * Produits offerts merci


vendredi 6 septembre 2019

En route avec la trottinette Evo Comfort de Globber (Test et avis)



Notre petite L. vient de fêter ses 18 mois et elle est de plus en plus autonome que ce soit dans ses compétences intellectuelles avec l’apprentissage du langage que dans ses compétences motrices. 

En effet, elle adore marcher, faire du toboggan ou jouer au parc et également se déplacer sur différents engins. Elle a un camion trotteur Bobby Car qu’elle a pu utiliser avant même de savoir marcher mais depuis quelques temps elle était attirée par un modèle de trottinette qu’on voit partout.

A la crèche, dans la rue, au parc, impossible de passer à côté de ces trottinettes d’un nouveau genre, les trottinettes évolutives Evo de la marque Globber. Ces drôles de modèles qui peuvent tour à tour être utilisés en tant que draisienne ou trottinette sont les chouchoux des parents et des enfants. Avec leurs coloris modernes et leur design unique, ils attirent l’œil.



Mes deux autres enfants ont eu des trottinettes dès l’âge de 3 ans  mais ce modèle évolutif n’existait pas encore et de ce fait ils ont commencé avec des trottinettes à 3 roues. Nous avions aussi acheté une draisienne pour notre fille aînée. Si la version « trottinette » a été tout de suite évidente pour mon fils, cela l’a été beaucoup moins pour ma fille aînée. A l’inverse, elle aurait certainement été plus rassurée de commencer par une version « assise » et ainsi se familiariser avec ce mode de déplacement.

C’est pourquoi, nous avions mis dans la liste de nos envies pour notre petite mini une trottinette évolutive EVO Comfort de Globber et nous n’avons pas regretté notre choix.

Montage et choix du mode

La trottinette Evo Comfort est vendue dans un carton et se monte en quelques minutes sans avoir besoin d’outils. C’est facile et rapide.

Nous avons installé le mode draisienne assistée pour notre petite puce car il s’agit du 1er mode utilisable dès 15 mois. Le modèle Comfort se transforme également en mode draisienne autonome pour des enfants entre 15 et 36 mois (jusqu’à 20Kg) puis en mode Trottinette 3 roues pour des enfants jusqu’à 9 ans (soit environ 50 kg). Les changements se font très facilement sans avoir besoin d’outils ce qui permet de le faire à tout moment si votre enfant vous le réclame.



Le siège de la draisienne est réglable sur trois niveaux de hauteur tout comme le guidon qui lui est réglable sur 4 niveaux. On passe de l’un à l’autre en un clin d’œil !

Caractéristiques de la  trottinette Evo Comfort

Un design bicolore (nous avons choisi la rose mais il y a 5 choix de couleurs différentes)
Repose-pied amovible
Barre de support de siège.
Siège ajustable à 3 hauteurs. Son siège est d’ailleurs le plus long et plus large de la gamme Evo.
Guidon T-Bar ajustable sur 4 niveaux


Notre avis sur le modèle

A ce stade, nous l’utilisons dans son mode de draisienne assistée. Notre petite fille a mis quelques jours avant de vouloir s’installer dessus car elle n’était pas rassurée au début par le fait d’être en hauteur et en mouvement. Nous ne l’avons pas forcé et laissé la trottinette à disposition jusqu’à ce qu’elle soit décidée. Elle a ainsi observé attentivement les autres enfants possédant cette trottinette, appris à se rassurer et un matin, elle a demandé à aller se balader.

Pour cette première expérience, j’ai privilégié un endroit clos, sans trottoir et en ligne droite et c’est donc sur la partie récente de la Petite Ceinture que nous avons testé son nouveau bolide.

Je l’ai installée sur son siège et je l’ai sentie tout de suite à son aise. Elle était confortablement assise et posait ses petits pieds sur le socle prévu. Cette stabilité l’a rassurée.

Nous avons ainsi avancé sur quelques centaines de mètres avant qu’elle ne choisisse de descendre et de pousser elle-même sa trottinette en saisissant le manche. J’ai immédiatement pu constater la stabilité de la trottinette et la facilité qu’elle avait à la faire avancer. Elle était alors très fière de faire avancer son nouveau jouet toute seule !



Elle a également vite compris qu’elle pouvait monter et descendre seule de la draisienne, ce qui a renforcé son sentiment d’autonomie. En effet, elle a son petit caractère et aime pouvoir faire les choses par elle-même.



De mon côté, j’ai d’abord été un peu étonnée par le poids de la trottinette en mode draisienne car je l’ai trouvée un peu lourde par rapport aux trottinettes simples. Mais en fait, son poids s’explique par son côté très stable.

Par ailleurs, je la trouve assez maniable et facile à diriger. On peut bloquer les roues ou non et régler la hauteur du manche.

Ce premier essai a été très concluant et dans les semaines à venir, nous allons pouvoir utiliser la draisienne pour aller nous balader, faire quelques courses ou pour jouer. Et quand notre petite fille sera plus grande, nous passerons au mode draisienne autonome ou au mode trottinette. 


Grâce à son côté évolutif, elle va s’utiliser longtemps. C’est donc un très bon achat, durable et robuste.

Pour la trouver RDV  ici et son prix public conseillé  est 99 €



Avis très favorable pour cette trottinette évolutive à se procurer dès que l’enfant maîtrise la marche !

samedi 29 juin 2019

Bilan de la première année en crèche



Pour nous c’était une évidence, notre enfant serait plus épanouie si elle avait la possibilité d’aller en crèche. Alors, nous en avons fait la demande dès le 6ème mois de grossesse comme c’est la règle à Paris, nous avons plaidé notre cause, nous avons eu un peu de chance puisque nous avons eu le Saint Graal, la place en crèche !

Notre petite L. a donc commencé en septembre 2018 à l’âge de 6 mois dans une configuration qui nous a parue assez idéale pour elle comme pour nous.

Notre fils n’avait pas fréquenté la crèche mais la halte-garderie à partir de 13 mois, il avait tout de suite adoré tandis que sa sœur avait intégré la crèche à 9 mois et avait mis beaucoup de temps à s’adapter pour finalement devenir une petite fille très sociable parfaitement acclimatée à la vie en collectivité.

Notre petite L. est entrée à 6 mois en même temps que j’ai repris le travail. Je l’allaitais encore et de ce fait elle avait aussi été encore très peu gardée par d’autres personnes.
Ces paramètres n’ont jamais semblé effrayer les professionnelles de la crèche habituées à tous les cas de figure.

Une année « scolaire » s’est désormais écoulée et j’ai eu envie de dresser un petit bilan de cette période à travers quelques grandes étapes

La rentrée

6 mois c’est encore petit et je m’étais dit que cela rendrait peut être la séparation plus simple car j’avais l’impression que les petits bébés vivaient mieux l’absence de leur maman ou du moins étaient moins sensibles à la longueur de la journée. Pourtant allaitant encore mon bébé, je savais que l’attachement était encore très fort.
Plus que l’âge, j’appréhendais le fait qu’elle était encore au sein…
Et en effet, si pour certains bébés, tout s’est bien passé, cela a été très compliqué pour notre puce. Elle ne voulait pas de lait artificiel mais a bien voulu des purées et surtout pleurait beaucoup sans trouver d’apaisement…
6 mois ou 9 mois, même combat pour nos deux filles entrées à la crèche encore allaitées.
Avec le recul cela paraît très logique compte tenu du lien si fort qui unit une maman et un bébé et je comprends les parents qui pensent que la première année, il est préférable qu’un enfant soit gardée par la maman ou par une assistante maternelle qui répondrait plus particulièrement aux besoins de bébé.


Du coup, la période d’adaptation est cruciale car l’enfant et le parent ont besoin de temps. Il faut bien garder ce point en tête et éviter de concilier reprise du travail et adaptation. Je recommande de se laisser un peu de temps pour bien faire chaque chose.
L’équipe d’accueil occupe une place centrale car cela permet de mettre en confiance l’enfant et les parents. Nous avons eu des personnes vraiment à l’écoute qui n‘ont émis aucun jugement, ont montré beaucoup de patience et de bienveillance.
Même si tout a été parfaitement mis en place pour créer un cadre, la rentrée de notre petite L. n’a pas été des plus faciles mais cela est souvent le cas car une entrée à la crèche reste une étape, la première sur le chemin de la Sociabilisation…

A l’issue du 1er trimestre

Trois mois après le début de la crèche, les choses étaient encore assez compliquées pour L.

L’équipe pédagogique bien que très à l’écoute continuait d’avoir des difficultés à gagner la confiance de la miss. Elle se montrait méfiante, ne voulait toujours pas dormir dans son lit et avait beaucoup de moments de détresse.
Il faut dire aussi que nous avons constaté un turn-over assez important et beaucoup de manque de personnel. Ainsi les éducatrices spécialisées ou parfois même le personnel de Direction étaient souvent amenés à devenir auxiliaires de puériculture. On sentait parfois une petite confusion et même un peu de tension.

J’avoue n’avoir jamais ressenti cela pour notre fille ainée, preuve s’il en est que les conditions se sont peut-être un peu dégradées en 10 ans.

Le point positif  a été la poursuite de notre lien lacté à la maison ce qui permettait de l’apaiser une fois rentrée.

A la crèche, elle a aussi trouvé  son doudou et l’objet transitionnel a pris toute sa place. 
Nous avons choisi de lui acheter le même doudou qu’à la maison afin qu’elle ait ses marques.
Cela a semblé la rassurer sans pour autant l’apaiser vraiment.

Le regroupement de noël a marqué une nouvelle étape et le hasard faisant bien les choses elle a atterri dans la crèche de sa sœur auprès de la même auxiliaire qu’elle. Evidemment celle-ci a tout de suite constaté beaucoup de similitudes entre les deux, cette même sauvagerie, ce même sens de l’observation, une certaine distance vis-à-vis des enfants et le besoin d’avoir un adulte référent…

L’approche des 1 an

A l’approche de ses 1 an, les choses ne semblaient guère s’améliorer.

Le sommeil était chaotique et jamais dans son lit… Elle était crevée le soir et ne manquait pas de s’endormir à la maison.

Elle développait en plus une certaine agressivité envers ses camarades testant parfois ses limites.

Nous avons même eu quelquefois le droit à des réflexions un peu salées des auxiliaires mises à bout par ses cris incessants.
Car notre petite L. était frustrée … Frustrée d’avoir envie de faire plein de choses sans pour autant pouvoir assouvir toutes ses envies.

Un âge compliqué qui a duré jusqu’à ce qu’elle marche !
Hyper à l’aise dans la motricité, ses premiers pas lui ont donné l’autonomie qui lui manquait.


Premiers pas et transition

En moins de quelques mois, elle a perdu sa deuxième figure de référence partie elle aussi à la retraite et comme elle y était très attachée, j’avais un peu peur de cette nouvelle rupture.
Pourtant tout s’est bien passé et elle s’est même ouverte aux autres.

En même temps que la marche elle a acquis un peu de langage d’autant que la crèche pratique également la langue des signes que les bébés utilisent allègrement.

Avec la marche, elle peut plus facilement profiter des infrastructures proposées par la crèche. Ce qui est par exemple très agréable pour elle est l’espace qui fait cruellement défaut à la maison. Là, elle peut faire des lignes droites, grimper, explorer… Et depuis qu’il fait beau, elle profite aussi du jardin.

Autre nouveauté, elle mange désormais seule avec sa petite cuillère sur une chaise basse.
Grâce à ses deux progrès, elle profite beaucoup mieux de la crèche et s’y sent beaucoup plus à l’aise.

Ce qui me fait penser que la crèche est vraiment le lieu parfait quand l’enfant grandit car c’est là qu’il prend conscience de son autonomie.

Comme dans toute collectivité, il est difficile de faire immerger son individualité et pour un tout petit c’est assez douloureux quand il est encore très dépendant.

Avant la marche, on entend beaucoup de pleurs, on voit beaucoup de bébés en détresse et le manque de bras est compliqué. 

Mais à partir du moment où les enfants marchent ou se débrouillent plus seuls, le climat est apaisé.

Il y a beaucoup de légendes autour de la première année en crèche et certaines sont vraies comme le fait que les enfants sont tout le temps malades (je pense qu’elle a eu le nez pris ou la toux de septembre à juin….), sur le fait que c’est plus fatigant (elle fait souvent une sieste entre 18h et 19h, une fois rentrée à la maison)…

A Paris, il y a de plus en plus de crèches qui sont créées (publiques ou privées) mais il manque de beaucoup de personnel. Souvent mal payées, peu reconnues et considérées, les femmes qui oeuvrent pour le Bien-être de nos bébés sont découragées.

Il y a d’ailleurs eu pas mal de mouvements de grève.

Pourtant, beaucoup restent passionnées par leur métier et s’occupent des bébés avec tout le soin possible. Notre petite L. n’a pas toujours été facile mais elle a reçu beaucoup de respect. Elles ont fait preuve d’une grande patience avec elle ou avec nous et nous ont rapporté ses progrès et anecdotes.

Chaque jour, elles notent les infos sur notre petite dans un cahier de liaison bien utile et partant de cette idée, Exacompta a créé Mon Agenda Baby Day, le carnet de liaison et cahier de vie entre les parents, la nounou, l’assistante maternelle ou la crèche. De 0 à 3 ans, ce carnet permet de noter tous les jours les échanges autour de l’enfant. Des petits pictos indiquent les postes de discussion (comme la sieste, le repas…). Il est conçu de septembre à août pour bien couvrir l’année de garde. En plus grâce à des stickers, on peut le personnaliser. C’est l’agenda de bébé qui fera aussi un merveilleux cahier de souvenirs pour plus tard. Il est vendu 19 euros.





Il reste encore 1 mois de crèche à notre miss avant les vacances puis son entrée chez les Moyens grands en septembre.








lundi 17 juin 2019

Test et avis sur le panier Pique- nique et le service à thé interactif de Vtech




Ma petite dernière adore les jeux d’imitation alors même qu’elle est encore assez petite. Faire comme les grands, essayer de reproduire les gestes faits par les plus âgés… Autant de moments de jeux qui contribuent à l’éveiller.


Récemment, nous avons reçu deux jeux interactifs de la marque Vtech : le panier pique-nique et le service à thé, deux jeux qui ont tout de suite plu à notre petite L.

Elle a d’abord été séduite par le service à thé : la petite théière à l’adorable visage qui parle et chante, fait des bruits de théière et change de couleur. Elle est vendue avec un  présentoir à gâteaux composé de  5 parts de couleurs différentes. Il y a plusieurs modes sur la théière : un mode chantant et entraînant et un mode plus ludique qui apprend les chiffres et les couleurs. En tout 50 sons, chansons ou mélodies sont proposées. L’univers du thé est parfaitement représenté car la théière imite le bruit du sifflet, puis celui de l’eau qui coule quand on la penche. En soulevant le couvercle, elle annonce aussi différents parfums de thé avec la lumière qui change en fonction. C’est un jouet à la fois ludique, amusant et même poétique. Notre petite adore nous servir du thé ou faire semblant de boire dans l’une des tasses. Elle peut y passer un certain temps. Cela développe sa patience et sa motricité fine.

















Ce jeu plaira aussi aux parents car il est joli, le volume sonore est réglable. Au-delà du côté électronique, c’est aussi un jeu qui développe l’imagination et le sens du partage.
Assez simple, il convient aux enfants dès 1 an et promet des heures de jeux au moins jusqu’à 5 ans !

Elle aime aussi beaucoup le panier de pique-nique même si à 15 mois, elle n’en a pas encore exploré toutes les possibilités. Ce jouet est en effet proposé plutôt à partir de 2 ans. 


Dans un joli panier interactif, l’enfant va trouver tout le nécessaire pour faire un pique-nique : une ravissante nappe à  carreaux rose et blanc, deux assiettes, fourchettes et verres ainsi que des fruits, sandwichs et gâteaux en plastique coloré. C’est à la fois très réaliste et très coloré. Le panier a un mignon visage et il s’ouvre sur le dessus comme un vrai panier en osier. Les boutons pour le mettre en marche et régler les modes et volumes sont sur le dessus mais l’enfant peut animer l’ensemble en appuyant sur un gros papillon. Chansons, phrases et sons amusants donnent vie au panier. Sur le dessus également, une boite à formes permet d’insérer les éléments pour favoriser la motricité fine. Ces mêmes éléments peuvent aussi se poser dans les formes adaptées des assiettes. Ma petite adore essayer de mettre les formes dans les trous. Pour le moment, elle a plus de mal à s’installer autour de la nappe pour imiter un pique-nique mais je pense que c’est simplement parce qu’elle n’en a jamais vu ! En ce moment, ce qu’elle adore c’est essayer de porter son panier comme un sac !






Ce qui me plait dans ces jeux c’est justement leur côté évolutif car ainsi l’enfant a plusieurs possibilités.

 Bien qu’électroniques, ils laissent une part belle à l’imagination. Chaque détail est pensé pour séduire l’enfant. Même si le rose prédomine, ce sont des jeux assez mixtes et fondés sur la notion de partage puisqu’à chaque fois ils comportent des paires.

Leur prix est aussi très raisonnable puisqu’ils tournent autour de 30 euros.



Les jeux d’imitation Vtech, on valide of course !