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samedi 29 juin 2019

Bilan de la première année en crèche



Pour nous c’était une évidence, notre enfant serait plus épanouie si elle avait la possibilité d’aller en crèche. Alors, nous en avons fait la demande dès le 6ème mois de grossesse comme c’est la règle à Paris, nous avons plaidé notre cause, nous avons eu un peu de chance puisque nous avons eu le Saint Graal, la place en crèche !

Notre petite L. a donc commencé en septembre 2018 à l’âge de 6 mois dans une configuration qui nous a parue assez idéale pour elle comme pour nous.

Notre fils n’avait pas fréquenté la crèche mais la halte-garderie à partir de 13 mois, il avait tout de suite adoré tandis que sa sœur avait intégré la crèche à 9 mois et avait mis beaucoup de temps à s’adapter pour finalement devenir une petite fille très sociable parfaitement acclimatée à la vie en collectivité.

Notre petite L. est entrée à 6 mois en même temps que j’ai repris le travail. Je l’allaitais encore et de ce fait elle avait aussi été encore très peu gardée par d’autres personnes.
Ces paramètres n’ont jamais semblé effrayer les professionnelles de la crèche habituées à tous les cas de figure.

Une année « scolaire » s’est désormais écoulée et j’ai eu envie de dresser un petit bilan de cette période à travers quelques grandes étapes

La rentrée

6 mois c’est encore petit et je m’étais dit que cela rendrait peut être la séparation plus simple car j’avais l’impression que les petits bébés vivaient mieux l’absence de leur maman ou du moins étaient moins sensibles à la longueur de la journée. Pourtant allaitant encore mon bébé, je savais que l’attachement était encore très fort.
Plus que l’âge, j’appréhendais le fait qu’elle était encore au sein…
Et en effet, si pour certains bébés, tout s’est bien passé, cela a été très compliqué pour notre puce. Elle ne voulait pas de lait artificiel mais a bien voulu des purées et surtout pleurait beaucoup sans trouver d’apaisement…
6 mois ou 9 mois, même combat pour nos deux filles entrées à la crèche encore allaitées.
Avec le recul cela paraît très logique compte tenu du lien si fort qui unit une maman et un bébé et je comprends les parents qui pensent que la première année, il est préférable qu’un enfant soit gardée par la maman ou par une assistante maternelle qui répondrait plus particulièrement aux besoins de bébé.


Du coup, la période d’adaptation est cruciale car l’enfant et le parent ont besoin de temps. Il faut bien garder ce point en tête et éviter de concilier reprise du travail et adaptation. Je recommande de se laisser un peu de temps pour bien faire chaque chose.
L’équipe d’accueil occupe une place centrale car cela permet de mettre en confiance l’enfant et les parents. Nous avons eu des personnes vraiment à l’écoute qui n‘ont émis aucun jugement, ont montré beaucoup de patience et de bienveillance.
Même si tout a été parfaitement mis en place pour créer un cadre, la rentrée de notre petite L. n’a pas été des plus faciles mais cela est souvent le cas car une entrée à la crèche reste une étape, la première sur le chemin de la Sociabilisation…

A l’issue du 1er trimestre

Trois mois après le début de la crèche, les choses étaient encore assez compliquées pour L.

L’équipe pédagogique bien que très à l’écoute continuait d’avoir des difficultés à gagner la confiance de la miss. Elle se montrait méfiante, ne voulait toujours pas dormir dans son lit et avait beaucoup de moments de détresse.
Il faut dire aussi que nous avons constaté un turn-over assez important et beaucoup de manque de personnel. Ainsi les éducatrices spécialisées ou parfois même le personnel de Direction étaient souvent amenés à devenir auxiliaires de puériculture. On sentait parfois une petite confusion et même un peu de tension.

J’avoue n’avoir jamais ressenti cela pour notre fille ainée, preuve s’il en est que les conditions se sont peut-être un peu dégradées en 10 ans.

Le point positif  a été la poursuite de notre lien lacté à la maison ce qui permettait de l’apaiser une fois rentrée.

A la crèche, elle a aussi trouvé  son doudou et l’objet transitionnel a pris toute sa place. 
Nous avons choisi de lui acheter le même doudou qu’à la maison afin qu’elle ait ses marques.
Cela a semblé la rassurer sans pour autant l’apaiser vraiment.

Le regroupement de noël a marqué une nouvelle étape et le hasard faisant bien les choses elle a atterri dans la crèche de sa sœur auprès de la même auxiliaire qu’elle. Evidemment celle-ci a tout de suite constaté beaucoup de similitudes entre les deux, cette même sauvagerie, ce même sens de l’observation, une certaine distance vis-à-vis des enfants et le besoin d’avoir un adulte référent…

L’approche des 1 an

A l’approche de ses 1 an, les choses ne semblaient guère s’améliorer.

Le sommeil était chaotique et jamais dans son lit… Elle était crevée le soir et ne manquait pas de s’endormir à la maison.

Elle développait en plus une certaine agressivité envers ses camarades testant parfois ses limites.

Nous avons même eu quelquefois le droit à des réflexions un peu salées des auxiliaires mises à bout par ses cris incessants.
Car notre petite L. était frustrée … Frustrée d’avoir envie de faire plein de choses sans pour autant pouvoir assouvir toutes ses envies.

Un âge compliqué qui a duré jusqu’à ce qu’elle marche !
Hyper à l’aise dans la motricité, ses premiers pas lui ont donné l’autonomie qui lui manquait.


Premiers pas et transition

En moins de quelques mois, elle a perdu sa deuxième figure de référence partie elle aussi à la retraite et comme elle y était très attachée, j’avais un peu peur de cette nouvelle rupture.
Pourtant tout s’est bien passé et elle s’est même ouverte aux autres.

En même temps que la marche elle a acquis un peu de langage d’autant que la crèche pratique également la langue des signes que les bébés utilisent allègrement.

Avec la marche, elle peut plus facilement profiter des infrastructures proposées par la crèche. Ce qui est par exemple très agréable pour elle est l’espace qui fait cruellement défaut à la maison. Là, elle peut faire des lignes droites, grimper, explorer… Et depuis qu’il fait beau, elle profite aussi du jardin.

Autre nouveauté, elle mange désormais seule avec sa petite cuillère sur une chaise basse.
Grâce à ses deux progrès, elle profite beaucoup mieux de la crèche et s’y sent beaucoup plus à l’aise.

Ce qui me fait penser que la crèche est vraiment le lieu parfait quand l’enfant grandit car c’est là qu’il prend conscience de son autonomie.

Comme dans toute collectivité, il est difficile de faire immerger son individualité et pour un tout petit c’est assez douloureux quand il est encore très dépendant.

Avant la marche, on entend beaucoup de pleurs, on voit beaucoup de bébés en détresse et le manque de bras est compliqué. 

Mais à partir du moment où les enfants marchent ou se débrouillent plus seuls, le climat est apaisé.

Il y a beaucoup de légendes autour de la première année en crèche et certaines sont vraies comme le fait que les enfants sont tout le temps malades (je pense qu’elle a eu le nez pris ou la toux de septembre à juin….), sur le fait que c’est plus fatigant (elle fait souvent une sieste entre 18h et 19h, une fois rentrée à la maison)…

A Paris, il y a de plus en plus de crèches qui sont créées (publiques ou privées) mais il manque de beaucoup de personnel. Souvent mal payées, peu reconnues et considérées, les femmes qui oeuvrent pour le Bien-être de nos bébés sont découragées.

Il y a d’ailleurs eu pas mal de mouvements de grève.

Pourtant, beaucoup restent passionnées par leur métier et s’occupent des bébés avec tout le soin possible. Notre petite L. n’a pas toujours été facile mais elle a reçu beaucoup de respect. Elles ont fait preuve d’une grande patience avec elle ou avec nous et nous ont rapporté ses progrès et anecdotes.

Chaque jour, elles notent les infos sur notre petite dans un cahier de liaison bien utile et partant de cette idée, Exacompta a créé Mon Agenda Baby Day, le carnet de liaison et cahier de vie entre les parents, la nounou, l’assistante maternelle ou la crèche. De 0 à 3 ans, ce carnet permet de noter tous les jours les échanges autour de l’enfant. Des petits pictos indiquent les postes de discussion (comme la sieste, le repas…). Il est conçu de septembre à août pour bien couvrir l’année de garde. En plus grâce à des stickers, on peut le personnaliser. C’est l’agenda de bébé qui fera aussi un merveilleux cahier de souvenirs pour plus tard. Il est vendu 19 euros.





Il reste encore 1 mois de crèche à notre miss avant les vacances puis son entrée chez les Moyens grands en septembre.








vendredi 23 février 2018

Les petits mots qu’on laisse partout




J’ai toujours eu la culture de l’écriture manuscrite.

Petite j’écrivais des lettres (j’ai ainsi entretenu deux ou trois correspondances pendant 3 à 5 ans avec des copines de vacances), je tenais un journal intime. Il m’est même arrivé de faire les courriers administratifs de ma mère. 

En grandissant et malgré l’omniprésence de l’ordinateur et du digital dans ma vie, j’ai continué cette pratique : j’ai toujours un carnet sur moi qui me sert de pense-bête pour noter en vrac mes comptes, mes envies shopping, les courses à faire, les bons plans… Au travail, je bosse d’abord sur un bloc note pour élaborer mes reco ou autre.

Et à la maison nous adorons écrire des petits mots. Chacun a son style ou y trouve son intérêt.
Credits photos

Pour notre fils, les petits mots s’écrivent de préférence sur des endroits incongrus : les portes du frigo, sa trousse, ses cahiers ou des petits bouts de papiers qu’il accumule dans son tiroir de bureau jusqu’à ce que celui-ci ne ferme plus à cause de tous ces bouts de papiers coincés. Il s’entraine à y faire sa signature, écrit des bêtises sur les copains ou les profs, invente le tag de son prénom… Ce n’est ni productif, ni pragmatique mais c’est amusant et créatif. Il adore également noter des pronostics sportifs notamment pour le foot ou y prévoir ses prochains voyages ou ses envies d’ascension. Il a un certain talent pour programmer et planifier.

Pour notre fille, les petits mots décrivent sa vie ou ce qu’elle a envie de partager. Elle a des journaux intimes dans lesquels elle se présente, présente ses amies, raconte les anecdotes de sa vie à l’école… Elle aime encore plus l’objet que le fait d’y écrire quelque chose… Récemment, elle m’a demandé de lui acheter du papier à lettres pour écrire des mots aux copines, ou répondre aux invitations d’anniversaire. J’adore ce principe de correspondance épistolaire et j’espère que comme moi, elle prendra plaisir à écrire des lettres. Pour les vacances, elle avait aussi un texte romanesque à écrire. Elle l’a fait pratiquement le premier jour, en un jet et son histoire tenait vraiment la route !

Les petits mots qu’elle nous laisse sont toujours délicats et doux comme elle. Ils se nichent dans nos petits carnets perso. Ainsi en ouvrant une page, il nous est possible de tomber sur un « je t’ aime maman », des essais de signature, de animaux mignons… Elle s’exprime sur une ou plusieurs pages. Quand elle était en CP, alors que je l’avais un peu grondé pour une bêtise, elle avait même pris l’initiative de m’exprimer sa colère sur des petits papiers qu’elle glissait sous la porte au fur et à mesure. Evidemment, j’avais craque !

Avec mon chéri, nous échangeons aussi pas mal par le biais de petits mots laissés sur la table. Nous avons nos petits rituels, que ce soit des petits mots sous forme de TO DO ou bien des petits messages d’amour. Il a aussi un carnet dans lequel il note des citations, il adore me les faire partager.

Nos petits mots écrits sont toujours bienveillants alors qu’il nous arrive de nous disputer par SMS. Je me dis que peut être l’écrit papier laisse une empreinte plus pérenne, l’envie de se montrer plus doux et plus à l’écoute. Il y a toujours un mot doux, des petits cœurs qui se baladent sur la feuille…

Et tous ces petits mots qui nous appartiennent, je les conserve précieusement dans des boites, des tiroirs ou des carnets que je ne jette jamais. C’est notre petit trésor.

Cette culture de l’écrit et du message reste vivace et les marques l’ont parfaitement compris puisque certaines proposent de personnaliser des produits ou de faire passer des messages. En ce moment, c’est la marque de café Café Grand’Mere qui lance une vaste campagne intitulée les « Petits mots » et qui permet de passer des messages à ceux qu’on aime. La campagne dure du 22 janvier au 31 mars avec un temps fort le 4 mars à l’occasion de la fête des Grands-mères. Qui de mieux que cette marque pour accompagner les liens transgénérationels autour d’un bon café ! En vous rendant sur le site, vous pourrez ainsi personnaliser votre paquet de café et y ajouter un petit mot. Une jolie surprise originale !




Et la bonne nouvelle est que je vous propose de gagner un pack sur ma page Facebook.

Alors n’hésitez pas à prendre la plume de temps en temps même si vous n’êtes pas Victor Hugo et que vous maitrisez mal le Bescherelle, cela fait toujours bien plaisir de trouver un petit mot à son attention.


mardi 3 octobre 2017

Test et avis du panier régional Qui Toque : la région PACA dans nos assiettes. (#codedereduction inside)


A la maison, nous commençons à bien connaître les paniers Qui Toque. Nous en avons testé plusieurs et j’avais eu le plaisir de participer à un atelier culinaire dans leur showroom il y a quelques mois.

L’expérience ne nous a jamais déçus : à chaque fois nos papilles ont été mises en éveil grâce à des recettes simples réalisées avec des ingrédients frais et sains.

Cette fois, nous avons testé leur nouveau concept : le panier repas régional. Une fois par mois, la chef propose un panier autour d’une région en utilisant recettes et mets typiques tout en y ajoutant sa petite touche perso !


Nous avons testé le premier de la série, le panier inspiré de la région PACA : saveurs du Sud, recettes qui fleurent bon la Provence et le soleil pour un voyage culinaire chaleureux et délicat.

Comme d’habitude 5 recettes étaient proposées et nous en avons réalisé quatre car j’avoue que l’une d’entre elles n’étaient pas au goût des miens :

Rôti de porc à la provençale : un délice plébiscité par la famille. Le porc d’origine française était tendre, les petits légumes mijotés à la cocotte très frais et grâce à une recette ultra facile, le plat était impossible à rater. D’habitude les enfants trouvent le porc un peu sec mais grâce à cette recette, ils l’ont redécouvert et apprécié.






Pilons de poulet et légumes à l’aïoli. Les pilons de poulet sont le met favori de ma fille mais avec cette recette, toute la famille a pu se régaler avec l’aïoli, une vraie découverte pour mon fils. Alors que les pilons ont parfaitement été cuits au four, j’ai fait les légumes à la vapeur ce qui leur a permis de garder leur croquant. Très rapide, cette recette a été réalisée un soir de semaine en 35 minutes.





Poisson blanc et tapenade d’olives vertes. Les enfants ont souvent du mal avec le poisson et c’est vrai que cette recette a été plus compliquée pour eux. Cependant, le mélange avec la tapenade a été apprécié et mon mari s’est régalé d’un poisson frais et fin. C’est la recette que j’ai mis le plus de temps à réaliser car il y avait beaucoup de préparation.




Soupe au pistou et au Parmesan, le parfait plat du dimanche soir. Cette soupe riche et savoureuse a été grandement appréciée. Des petites pâtes, des haricots blancs, des légumes… Un plat complet et familial à un coût très économique.




Tartines à la ratatouille et au Speck. C’est le plat que je n’ai pas fait car l’un n’aime pas la ratatouille, l’autre le speck et les deux les salades un peu trop raffinées avec des tartines. Il y a toujours une recette sur ce modèle dans le panier familial et je trouve cela moins adapté aux enfants. Ce sont des mélanges de saveurs qui ne les inspirent pas trop. Peu d’enfants ont envie de manger une salade en plat principal et c’est souvent la recette qui reçoit le moins d’enthousiasme à la maison.

Hormis ce bémol, nous avons adoré cette semaine régionale qui met en avant les bons petits plats de nos régions. En octobre, la Normandie sera à l’honneur et les petits plats présentés mettent l’eau à la bouche !

En attendant pour résumer notre expérience Qui Toque en quelques points, je dirais que :

Les recettes sont toujours inspirées et inspirantes avec des surprises et des plats traditionnels retravaillés. Cela permet de faire découvrir des goûts à toute la famille.

Les recettes familiales sont composées d’une majorité de produits bio et frais. Les portions sont généreuses permettant souvent d’avoir son déjeuner du lendemain tout prêt.

Les recettes sont ultra simples et vraiment bien expliquées grâce à un fascicule complet. La marque a d’ailleurs changé le format de celui-ci en y ajoutant une touche de couleur. C’est plus moderne mais le doc n’a rien perdu de son efficacité. Les ingrédients, les proportions et les explications sont super clairs avec toujours des astuces qui peuvent être réutilisées à d’autres occasions. Je ne suis pas une cuisinière exceptionnelle mais je me défends et grâce à Qui Toque j’apprends toujours plein de choses.

Les recettes proposées se réalisent vraiment en un temps très raisonnable et il possible de rentrer chez soi et de gérer la préparation et la cuisson en 30 minutes environ. A moins d’avoir des horaires un peu compliqués, on peut dire que pendant que les bons petits plats mijotent, il est possible de gérer les douches et les devoirs des enfants.

Pour une famille qui aime bien manger et qui recherche des produits frais et de bonne qualité, le coût est finalement assez raisonnable. Par exemple, nous faisons nos courses chez le Primeur ou à la boucherie et nous retrouvons la même exigence chez Qui Toque. Les produits de l’épicerie sont un peu plus haut de gamme que ce que je prends habituellement mais la différence de prix n’est pas énorme.

Cuisiner les paniers Qui Toque, c'est aussi une expérience associé au plaisir : plaisir de recevoir son colis, plaisir de découvrir des ingrédients frais, plaisir d'apprendre des nouvelles recettes et plaisir de les déguster.

Il est possible d’arrêter son abonnement en quelques clics. L’engagement est simple et peu contraignant.

Alors ce n’est pas une exagération de dire que cette fois encore le test a été ultra concluant !

Si vous souhaitez essayer ce concept livré partout en France, je vous propose un code de réduction de 20 € utilisable jusqu’au 31 octobre 2017 CESDOUXMOMENTS20.

Bon appétit !








samedi 2 septembre 2017

Toc toc c’est la rentrée ! (#concours inside)


Je ne sais pas si comme moi vous avez l’impression que les deux mois de vacances ont filé à toute allure…

Pourtant, il faut bien l’admettre, la rentrée frappe à notre porte, et cartables et baskets ont remplacé sacs de plage et tongs !


Les enfants sont fans de cette période et chaque année apporte son lot de nouveautés. Ils grandissent à vue d’œil et mon grand s’apprête à entrer en 6 ème tandis que la miss sera en CE2.  Je n’ai plus de bébé.

Exit les sacs à goûter, les licences et les tenues choisies par maman !

Bienvenue les listes de fourniture à rallonge, les marques (j’ai concédé un sac Eastpack à mon collégien) et les tenues branchées !

On ne rigole plus et la spontanéité de la tendre enfance semble céder le pas à la conformité et aux codes si importants pour un pré-ado ou un ado…

Ma fille bien que petite en âge a des réactions de grande, sans doute par mimétisme sur son frère. Elle a donc choisi une tenue avec soin. Nous avons fait un tour chez Kiabi, le magasin de mode à petits prix. C’est une enseigne que j’aime bien car elle est innovante, mode et à tout petit prix. Elle a choisi un legging bordeaux et une chemise à carreaux. Par contre, je crois qu’elle est déjà shoes addict… Un petit tour au centre commercial Créteil Soleil dont je suis ambassadrice et nous avons trouvé chez Courir une paire de Puma, le modèle Heart, bordeaux à rubans. Elle savait bien ce qu’elle voulait et elle a composé toute seule son petit look !

Mon grand garçon veut s’affirmer en tant que collégien et son look est totalement en adéquation avec son souhait : mode, Preppy et confortable. L’ensemble vient de chez HM mais les chaussures sont les Air Max qu’il a reçues pour son anniversaire.


Pour le moment, on évite les marques sauf pour les chaussures et quand la question viendra de manière plus récurrente, nous essayerons de tempérer leurs ardeurs tout en trouvant une solution intermédiaire.

Hormis le look de rentrée, il y a les incontournables fournitures scolaires avec des listes qui s’allongent au fil des années… Nous avons nos must-have comme les produits Bic dont les classiques et les nouveautés figurent toujours dans la trousse. Compas, crayon à papier, stylo Crystal ou Bic 4 couleurs sont des intemporels qui se renouvellent tous les ans et continuent de séduire des générations d’écoliers. Nous avons fait nos achats au Carrefour de Créteil Soleil et au total nous avons dépensé 125 euros (hors le sac de mon fils). Je sais qu’il y aura encore quelques ajustements mais le principal y est !




Et parce que la rentrée, c’est quand même bien fun, Oxybul éveil et Jeux me permet de vous gâter sur Facebook en mettant en jeu un kit complet composé de ce joli sac à dos (différentes couleurs) accompagné d’un ensemble de produits créatifs de la marque : feutres pour les petits, feutres pinceaux, paillettes, feutres magiques ou gouache sèche. Tout sera là pour stimuler le talent de vos boutchous ! Et même un jeu pour apprendre à compter sous la forme d’un petit tableau. L’ensemble est de bonne qualité et parfaitement adapté aux plus jeunes.




En plus de mon concours Facebook, la marque propose un jeu sur son compte Instagram avec le #rentreeoxybul. Pour jouer, il faut juste que l’enfant dessine son portrait, se prenne en photo et le poste avec le hashtag dédié.


Ce serait dommage de passer à côté !

En attendant je vous souhaite à tous une très bonne rentrée 2017 !




vendredi 28 juillet 2017

Quelques douces lectures de l’été pour toute la famille



On peut dire que c’est une des grandes tendances de l’été sur les blogs et les réseaux sociaux : présenter ses lectures de vacances.

Je trouve ça vraiment sympa de partager ainsi ses coups de cœur, ses trouvailles avec ses copines blogueuses ou sa communauté. J’adore les listes de bouquins à lire proposés sur les blogs, les photos sur Instagram ou encore les conversations générées sur facebook autour des livres à lire. 

J’ai d’ailleurs un petit carnet sur lequel je note les suggestions de lectures que je trouve par ci par là…

J’aime aller à la librairie et sélectionner 2 ou 3 livres que je vais dévorer au fil des semaines, soit dans les transports en commun, soit dans mon lit le soir. L’été est encore plus propice à la lecture et c’est un peu un rituel que d’aller à la librairie choisir 4 à 5 livres.

J’essaie de familiariser les enfants avec ce goût pour la lecture l’été. Pour être honnête, j’étais une fillette qui dévorait des livres l’été parfois au grand dam de mes parents qui voulaient que je sorte profiter du soleil… Je ne demande pas à mes enfants d'être accroc aux  livres comme je le faisais mais j’aimerais qu’ils y trouvent néanmoins un certain plaisir alors on essaie de trouver ensemble des lectures qui peuvent leur plaire. Et le moins que l’on puisse dire c’est que les éditeurs de livres pour enfants sont productifs et les histoires très sympas.

Ma sélection de livres

Le jour où Anita envoya tout balader de Katarina Bivald, un feel-good book idéal pour les vacances

Petit Déjeuner chez Tiffany de Truman Capote, un classique de la littérature américaine

Oublier Palerme d’Edmonde Charles-Roux, un Goncourt obtenu par une femme en 1966

La femme qui fuit d’Anaïs Barbeau-Lavalette, une pépite émouvante qui a eu le prix des lecteurs en 2017

La vie est facile, ne t’inquiète pas d’Agnès Martin-Lugand, l’un des best-sellers du roman contemporain à la française.

Que des romans donc, en format livre de poche, une sélection éclectique dans le temps et l’espace même si les histoires de femmes dominent. Récents ou classiques, tous me donnent envie de les découvrir.


La sélection des enfants

20 allée de la Danse, l’envol d’une discrète d’Elisabeth Barféty qui plonge l’enfant dans les coulisses de l’Opéra de Paris à travers une série.

Deux polars : Le cachalot nage dans le potage et l’Araignée est une fine mouche d’Emmanuel Tredez qui proposent des enquêtes amusantes.

Apolline et le renard mauve de Chris Riddell, un livre qui propose une histoire et des énigmes ou DIy.

Olga et le machin qui pue d’Elise Gravel, un livre un peu drôle qui alterne textes rigolos et dessins loufoques comme les enfants adorent.

Chi une vie de chat de Konami Kanata, un manga tout mignon pour les fans de ces livres Kawai

Balenz et Melina de Romain Pujol, Thitaume et Baptiste Amsallem avec des histoires courtes au temps de la préhistoire sous forme de petites BD amusantes.

Deux livres 100 % Girl Power : Princesses Power de Lucia Etxeberria et Allegra R ou le réveil des princesses de contes de fées version 2017 et Agence Confettis, même pas peur de Juliette Saumade qui met en scène des héroïnes d’aujourd’hui.


Ces livres sont tous sortis récemment et je les ai vus sur les étals des rayons enfants de librairies. De quoi donner le goût de la lecture à nos chères têtes blondes !

N’hésitez pas à aller jeter un œil à la liste de ma copine Marion pour les livres adultes et au blog de référence de Laura des Livres d’Oscarpour la littérature jeunesse.

Et vous, qu’est-ce que vous allez lire cet été ?




vendredi 26 mai 2017

L’Atelier de Charenton fête ses 10 ans !



« On me disait que mon projet était impossible. Le conseiller de l’administration me l’avait bien répété : les chiffres étaient « bien trop petits ». J’ai fait fi de tous ceux qui voulaient me décourager, ils ont même fait redoubler mes forces. Ma petite voix intérieure me disait qu’il vaut mieux un échec qu’un regret. »

Ces mots de Sandrine Sananès, fondatrice de l’Atelier de Charenton, école de Peinture Libre, résument bien l’histoire de son projet un peu fou, précurseur, loin des standards de l’éducation d’aujourd’hui qui valorise la compétition et la réussite à tout prix sans parfois regarder le contenu.

Au début, il y a une ancienne directrice de casting qui a eu envie de donner un autre sens à sa vie et de porter un projet qui lui ressemblait vraiment : créer un atelier d’expression picturale libre et inspirante accueillant les enfants dès 3 ans et les adultes. Elle propose une méthode,« Le geste de peindre » qui permet d’exprimer son langage plastique et corporel de manière plus libre que dans les Arts Plastiques traditionnels.

Ce pari fou est né en 2007 et c’est dans la très jolie rue Gabrielle que Sandrine a posé ses pinceaux et a retroussé ses manches pour créer l’atelier de ses rêves. Elle a été séduite par la devanture de cette boutique à l’ancienne comme on en trouve encore à Paris et a été emballée par l’intérieur haut de plafond.


Quelques travaux plus tard, l’Atelier était prêt à accueillir ses premiers visiteurs. Elle a également eu l’idée de génie de proposer des cours le dimanche ce qui a séduit beaucoup de parents.

10 ans plus tard, les 6 cours qu’elle propose à l’année sont complets et sa méthode a fait des émules.

J’ai rencontré Sandrine au tout début de ce blog. Je recherchais alors des ateliers créatifs pour mes enfants aux alentours de chez moi et j’ai inscrit mon fils à l’un de ses stages.


Je me lançais également dans la parentalité positive en ouvrant mes ateliers de massage bébé. J’étais alors en quête de partenaires bienveillants avec qui partager des valeurs communes.

Nous avons sympathisé rapidement partageant beaucoup de points communs autour de l’éducation.

Ma fille a alors poussé les portes de l’Atelier âgée de 2 ans et des poussières et s’est immédiatement laissé embarquer par l’aventure. Elle se souvient encore des années après de cette école de peinture où elle a laissé son pinceau couvrir la feuille de couleurs très librement. Ma petite artiste a adoré cette liberté, son imagination l’a portée hors de la feuille dans un monde plein de couleurs et de poésie.



A l’époque Sandrine ne donnait pas les dessins des enfants après la séance pour éviter le regard des autres et notamment du parent. Je n’ai donc jamais vu leurs œuvres qui sont certainement encore conservés à l’Atelier !

Aujourd’hui, elle donne les œuvres des enfants en septembre dans des pochettes fermées qu'elles recommandent de n'ouvrir qu'aux 18 ans de l'enfant.

Ce sont des cours basés sur le partage, la liberté, l’écoute et la bienveillance. Petits et grands sont mélangés dans un même cours sans que le moindre jugement ne soit fait. C’est un havre de paix au milieu de la ville, un moment à part dans notre monde souvent si exigeant.

Ce projet né dans la tête d’une femme obstinée est donc devenu un lieu incontournable dédié à la créativité et l’Atelier de Charenton fête ses 10 ans le 10 juin 2017 à travers une série de manifestations.


A l’Atelier lui-même, des ateliers de peinture sur gâteaux et de réalisations de boites à secrets sont disponibles sur réservation.

L’intégralité des sommes récoltées sera reversée à l’association Sparadrap qui accompagne les enfants malades ou hospitalisés.

Par ailleurs, l’Atelier proposera une expo-vente de céramiques.

Au Pink concept (à 10 mètres de l’Atelier) 1, rue de Sully. Charenton
Entre 14 et 17 heures, entrée libre. Les enfants sont obligatoirement accompagnés d’un adulte.
– Pause douceur : brioches, pop cakes, sablés… réalisés par Lucie Grenadine et boulangerie BO.
– Photos-souvenirs : en toile de fond, projection continue des beaux moments de l’Atelier et des tableaux de nos archives (il ne s’agit pas d’une exposition traditionnelle des travaux de fin d’année).

Une bien jolie fête se prépare donc pour toute la famille autour d’un beau projet qui est devenu une activité pérenne, connue au-delà des frontières de Charenton car la créativité n’a pas de limites !

Bon anniversaire l’Atelier de Charenton, bon anniversaire Sandrine !


Renseignements et réservations ici.